En mai 2018, Ford a été sans équivoque. Il a promis aux Ontariens : « Je ne retirerai pas le contrôle des loyers » et « nous allons maintenir le statu quo ». Il ne lui a fallu que six mois pour nous montrer une fois de plus qu’il se tient aux côtés des grandes entreprises et de ses copains, et non des Ontariens moyens. En novembre 2018, le contrôle des loyers a été retiré de tous les nouveaux logements.
Ford a également promis de s’attaquer au coût d’achat d’une maison en disant qu’il allait « s’assurer que c’est plus facile et plus abordable lorsque vous allez acheter une maison. »
« C’est une gifle au visage des Ontariens qui ont pris Ford au mot », a déclaré le député libéral Stephen Blais. « Mettre fin au contrôle des loyers et permettre à ces augmentations de se poursuivre au milieu d’une crise du logement et au milieu d’une crise d’abordabilité – alors que tout, de l’essence à l’épicerie, coûte plus cher – est tout simplement sans cœur. »
» Ce n’est qu’une autre promesse faite, promesses non tenues de Doug Ford « , a déclaré Blais. « Les Ontariens ont peut-être perdu le compte de toutes les promesses que Ford et ses conservateurs ont brisées, mais ils n’ont certainement pas perdu le compte de leurs loyers qui montent en flèche. »
« Les gens de cette grande province méritent mieux que les tactiques d’appât et d’échange de Ford, où il prétend être du côté du petit gars un jour pour se retourner et donner à ses copains conservateurs les meilleurs emplois et des augmentations de loyer le lendemain », a déclaré Blais. « Les Ontariens ne peuvent tout simplement pas se permettre quatre autres années de promesses non tenues par Ford. Il est temps de s’assurer que Doug est fini. «
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