La traite des êtres humains est un crime odieux. L’exploitation des êtres humains est un acte méprisable et impitoyable.
Les plus vulnérables sont les jeunes femmes et les jeunes filles, en particulier les femmes et les jeunes filles autochtones, et les membres de la communauté LGTBQ2. Elles sont souvent victimes d’abus et d’exploitation sexuels.
C’est un problème croissant, et l’un des crimes qui se développent le plus rapidement dans le monde. Aucun pays n’est à l’abri des multiples facettes de son ampleur.
Nous devons rester vigilants, toujours, pour mettre fin à la pratique de la traite des êtres humains. Alors que les gouvernements fédéral et provinciaux prennent des mesures pour mettre fin à cette pratique, nous devons toujours travailler fort pour qu’aucune victime ne soit oubliée et que tous les trafiquants soient traduits en justice.
Aujourd’hui, en cette Journée mondiale de la lutte contre la traite d’êtres humains, nous réaffirmons notre engagement à mettre fin à cette pratique, à soutenir les victimes et à les aider à se reconstruire.