Le 12 juin, 2020, OTTAWA – Suite au jugement de la Cour suprême du Canada en faveur du Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique (CSF) et la Fédération des parents francophones de la Colombie-Britannique (FPFCB) sur le droit constitutionnel du financement de l’éducation francophone en situation minoritaire, Lucille Collard députée provinciale pour Ottawa-Vanier et porte-parole libérale du Procureur général, Amanda Simard, députée provinciale pour Glengarry—Prescott—Russell et porte-parole libérale aux Affaires francophones et Kathleen Wynne, députée de Don-Valley-Ouest et porte-parole libérale en matière d’éducation ont communiqué la déclaration suivante :
« Nous aimerions remercier le Conseil scolaire francophone (CSF) et la Fédération des parents francophones de la Colombie-Britannique (FPFCB) pour tous leurs efforts, leur détermination et leur travail acharné au cours des dix dernières années.
C’est un grand jour pour l’éducation de langue française à travers le pays. La Cour suprême a clairement indiqué que les enfants qui étudient en français ou en anglais doivent recevoir la même qualité de service et la même expérience éducative à l’école. Peu importe la taille de la population francophone d’une région, la Cour a jugé l’obligation d’assurer l’égalité réelle dans le service éducatif fourni. Peu importe où vous êtes au Canada, vous avez droit à une éducation de qualité en français.
L’éducation est la pierre angulaire pour préserver notre langue et notre culture. Chaque région doit pouvoir conserver son identité culturelle francophone et avoir les outils nécessaires pour le faire. Une éducation de qualité doit donc être accessible dans tous les coins de notre pays. La décision rendue par la Cour suprême du Canada crée un précédent important, non seulement pour la Colombie-Britannique, mais pour toutes les provinces du Canada.
Notre pays est fondé sur le bilinguisme, le français étant la langue d’un des deux peuples fondateurs. Le droit à une éducation de qualité en français est un droit constitutionnel, et chaque jeune francophone qui désire apprendre le français doit y avoir accès.
Notre parti a protégé et défendu les droits des francophones. Nous avons mis sur pied le premier ministère des Affaires francophones. Nous avons appuyé le projet de l’Université de l’Ontario français dès le début et continuons d’appuyer sa réalisation. »
Pour plus d’informations, contactez :
Liam Roche
Adjoint Spécial, Communication à Lucille Collard, députée
613-981-5426
[email protected]
Liz Davidson
Adjointe exécutive à Amanda Simard, députée
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